Aujourd’hui, le Comité des Droits de l’Homme (AG-2) a débattu sur le thème de l’excision.
De nos jours dans plusieurs régions du monde, l’excision est devenue le cauchemar des femmes et en particulier des jeunes filles.
Chaque année, des millions de jeunes filles sont affectées par les mutilations génitales féminines, appelées MGF.
Les MGF sont exercées pour un certain nombre de raisons culturelles, religieuses et sociales. Elles sont profondément liées à l’inégalité des sexes et à la discrimination contre les femmes. En général, ceux qui pratiquent les MGF croient qu’ils garderont leurs filles pures afin de les marier en protégeant l’honneur de leur famille.
Les Etats-Unis étaient porte-parole.
D’après plusieurs délégués et selon nos observations, l’Éthiopie était l’un des pays qui a le plus focalisé l’attention. La délégation du pays a exposé ses idées et a défendu son point de vue.
Le point de vue du Royaume-Uni sur les MGF : il est illégal d’effectuer des MGF et l’Etat doit sensibiliser sa population à l’aspect illégal des opérations.
La majorité des votes était contre l’excision.
Le comité a proposé des amendements.
Par exemple, la Jordanie a proposé de supprimer les videos d’excision de femmes sur Internet. Le comité n’a pas accepté cette proposition car il pense que visionner ces vidéos peut être un choc et donc sensibiliser la population sur cette thématique.
Le MUNDE 2016 